A propos de nous

Une association créée en 1986 par des habitants du hameau afin de garantir que ce lieu
soit toujours agréable à vivre !

L’association a pour but de:
Promouvoir un cadre de vie harmonieux
– Par des contacts entre les habitants du quartier
– Par la facilitation de l’intégration des nouveaux arrivés
– Par des réflexions sur l’animation du quartier
Jouer un rôle d’interlocuteur avec la commune de Blonay
– Pour des aspects d’intérêt général dans la qualité de vie du quartier ( sécurité des enfants, circulation, entre autres )
– Pour le relais de demandes spécifiques d’un nombre représentatif d’habitants du quartier

Le Comité de ProChevalleyres se compose comme suit:

NomFonctionTéléphone
Michèle PerreletPrésidente
Marie-Christine SecretinVice-présidente
Lydie Michaillat-MayerSecrétaire
Sophie BindingTrésorière
Patrick Leheupsuivi projets immobiliers
Bruno FelderMembre
Anne-Lise PéclardMembre
Nicolas WaltiMembre
Guillaume WetliMembre

Le cèdre, emblème de l’Association:

Le site des Chevalleyres se caractérise, à la sortie du hameau, côté lac, par un magnifique cèdre, situé sur une propriété privée. Si l’on atteint Les Chevalleyres depuis Châtel St Denis, la vue depuis cet endroit est magnifique, dominée par le Mont Blanc. Cela peut même servir de baromètre, puisque si le Mont Blanc met son chapeau, le temps va rapidement tourner à la pluie. Vous comprendrez donc pourquoi les fondateurs de l’association ont choisi ce cèdre comme emblème de l’association. 
En 1990, le cèdre a subi d’importants dommages dus à la foudre. Comme vous le verrez d’après la correspondance de l’époque, ProChevalleyres a entrepris les démarches auprès des paysagistes de la région pour assurer le sauvetage de cet arbre et y a participé financièrement.
En 1994, à l’initiative de Mme Balsiger, le terrain du cèdre a été transformé en place de jeux pour les enfants de Blonay, l’entretien étant assuré par la Commune, avec bien entendu l’accord du propriétaire du terrain.
En 2013, les héritiers du terrain ont malheureusement dénoncé cet accord et privé les enfants de leur terrain de jeu, comme l’a relaté la Presse de l’époque.